J’en avais vraiment marre des commissariats et des flics qu’ils soient d’ici, ou ailleurs, dans les séries françaises nulles et dans les anglo-saxonnes, exception faite des britanniques. Des flics, ou des avocats, ou des procureurs, du FBI, de la CIA, et des histoires de famille, les grands-pères, les petits enfants, les maris, les femmes, et pas d’amants, rien de plus chaste que les séries « famille », des psychopathes, des truands, des violents, des dingues, pas la moindre émotion, sinon la peur, pas le moindre sentiment, sinon les plus vils…
Esthétiquement, j’en pouvais plus de la glorification du sweat serpillière, du pantalon informe et de la barbe de trois jour, du dessous de pont immonde, de l’abord de bretelle d’autoroute, de la casse mille fois vue, du bar à la noix, de l’appart de flic sinistre et sans âme, de l’open space de la police, du capitaine noir, parce tous les capitaines sont noirs, askip, de la scène de Q toujours la même, et pour les sentiments, tu repasseras, avec toujours les mêmes qui se déloquent dans l’entrée, la scène du brossage de dents, et du pipi dans la cuvette.
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